« Malgré la crise climatique, le végétarisme est encore perçu comme dévirilisant »

« Malgré la crise climatique, le végétarisme est encore perçu comme dévirilisant »

Face à l’élevage industriel qui rejette 15 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, le végétarisme incarne un levier majeur pour réduire le réchauffement climatique. La journaliste Nora Bouazzouni explique pourquoi les hommes restent les plus réfractaires à une alimentation végétale.

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