Procès du 13 novembre : Pour Hugo Micheron, les conditions socio-économiques n’expliquent pas les motivations djihadistes, « la question de fond est religieuse »
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En gros, Hugo Micheron constate un décalage dans l'appréciation du phénomène djihadiste au profit d'une seule lecture socio-économique de la situation. Il tient à travers ses travaux à réintroduire la dimension 'pénétration religieuse idéo' comme élément de compréhension. /2761
— 𝔾𝕦𝕚𝕝𝕝𝕒𝕦𝕞𝕖 𝔸𝕦𝕕𝕒 (@GuillaumeAuda) November 16, 2021
Micheron en substance : le débat universitaire "islamisation de la radicalité" vs "la radicalisation de l'Islam" est interessant jusqu'à un certain point. L'un n'exclut pas l'autre. Je valide l'explication socio-économique mais elle n'est pas suffisante. #proces13novembre /2756
— 𝔾𝕦𝕚𝕝𝕝𝕒𝕦𝕞𝕖 𝔸𝕦𝕕𝕒 (@GuillaumeAuda) November 16, 2021
Micheron également: Vous ne ferez jamais dire à un djihadiste qu’il est radicalisé. Il pense être dans le juste et que nous sommes dans le faux. La question de fond est religieuse. Peut-être faut-il sur individualiser les cas. La baguette magique collective n’existe pas. /2747
— 𝔾𝕦𝕚𝕝𝕝𝕒𝕦𝕞𝕖 𝔸𝕦𝕕𝕒 (@GuillaumeAuda) November 16, 2021
2 remarques préliminaires dit @MicheronH.
— 𝔾𝕦𝕚𝕝𝕝𝕒𝕦𝕞𝕖 𝔸𝕦𝕕𝕒 (@GuillaumeAuda) November 16, 2021
1. les attentats sont la manifestation ultime de la manifestation du djihadisme. Il y a du djihadisme entre 2 attentats.
2. Le djihadisme n'est pas réductibles aux organisations qui les incarnent. L'idéologie subsiste. /2700