Congo – Afforestation: L'invite de Denis Sassou N'Guesso au corps diplomatique davantage relayée par Michel Innocent Peya

Congo –  Afforestation: L'invite de Denis Sassou N'Guesso au corps diplomatique davantage relayée par Michel Innocent Peya

Le 5 janvier dernier, répondant aux vœux du Corps diplomatique, le Président Denis Sassou N’Guesso rappelait sa participation à la Cop 27 en Egypte, marquée par sa suggestion à la communauté internationale, d’instituer la décennie mondiale de l’afforestation. À cet effet, il a invité les diplomates à porter leur plaidoyer, auprès des dirigeants de leurs pays. Les diplomates étant des porteurs de connaissances qui régulent les rapports mutuels entre les États. Cette orientation aussi responsable que viable des enjeux éminemment planétaires, nécessite une vulgarisation multiforme et par tous supports. Une mission dont l’écrivain-chercheur Michel Innocent Peya ne se lasse point de porter, en véritable « messager de la vision écologique du Président Denis Sassou N’Guesso ».

Situé à cheval sur l’équateur, le Congo est au cœur des forêts du bassin du Congo, le deuxième massif forestier tropical après la forêt amazonienne et qui couvre près de trois millions de Kilomètres carrés. Un massif partagé entre six pays, que sont le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Gabon et la Guinée équatoriale.

Pourtant, fort ce confort naturel avec lequel il aurait pu se complaire et même tirer davantage de dividendes, sous l’impulsion de Denis Sassou N’Guesso, le Congo s’est plutôt investi pleinement dans l’action écologique axée sur la préservation des massifs, partant de leur écosystème.

Une dynamique qui prenait corps il y a un peu plus de quarante ans, alors que cette vision qui deviendra avec le temps, une doctrine idéologique, n’était encore, en occident, que le fait de quelques « robins des bois » qui défendaient plutôt un vivier, qu’ils n’anticipaient sur une préservation pérenne des écosystèmes.

Dans ce combat de l’afforestation et de la sauvegarde de ce patrimoine vital, et en missionnant le corps diplomatique d’en être le relais auprès de qui de droit, Denis Sassou N’Guesso se retrouve bien sur ce terrain où il a ses marques, celui de la diplomatie climatique, comme le mentionne Michel Innocent Peya dans son livre intitulé « La diplomatie climatique de Denis Sassou N’Guesso – Plaidoyer du messager de la nature et porte-voix des générations future ».

Cet ouvrage s’inscrit dans le cadre d’un hommage mérité à un homme exceptionnel. Il constitue une reconnaissance légitime de tous les efforts consentis et de toutes les énergies dépensées par un chef d’État africain amoureux de la Nature, mais surtout soucieux de l’avenir de la planète et de l’héritage à léguer aux générations futures, dans le contexte d’un changement climatique accéléré et non maîtrisé.

L’auteur, Michel Innocent Peya y contextualise les efforts diplomatiques du Président Denis Sassou N’Guesso pour le climat, explique les enjeux fondamentaux et majeurs, et résume l’impact réel de cette diplomatie climatique active, dans l’optique des intérêts stratégiques et vitaux de l’Afrique et partant, du Monde.

Oui, à travers son action, Denis Sassou N’Guesso n’en saisit pas moins cette dualité quasi mystique entre l’homme et la nature, partant, son milieu. Une vision qui s’appui non seulement sur le temps présent, mais qui transcende les générations pour s’inscrire dans la durée, afin, ainsi qu’il l’a toujours souligné, de ne pas sacrifier l’avenir au présent.

Nous sommes les héritiers de ceux qui sont morts, les associés de ceux qui vivent et la providence de ceux qui naîtront.

Par delà le legs d’une planète viable et vivable dans lequel il s’inscrit, Denis Sassou N’Guesso universalise ses efforts, en citoyen du Monde, convaincu que l’Homme n’appartient pas à un pays, à peuple, à une nation ou à un continent, mais il appartient à l’humanité.

De ce fait, le Massif du Bassin du Congo est un véritable espoir. Puisant sur l’analogie médicale, Michel Innocent Peya a toujours expliqué que de ses deux poumons, notre planète renverrait le diagnostic d’un poumon sain, le massif du Bassin du Congo et d’un autre gravement affecté, le massif de l’Amazonie tant celui-ci est dévasté a un point tel que même les photos satellites en montrent l’étendue des dégâts.

« Le Bassin du Congo, grâce à sa forêt et ses tourbières, est le deuxième poumon du monde. Depuis la déforestation de l’Amazonie, le monde peut compter sur nos forêts équatoriales pour combler le manque d’oxygène de la planète. Et cet oxygène est africain.

Cette réalité fait de notre sous-région le premier poumon écologique au service de l’Afrique et du monde. Un poumon africain qui fait respirer le monde. Cette réalité fait également de nous un poumon économique générateur d’emplois pour la jeunesse », rappelait Denis Sassou N’Guesso dans son message à la tribune des Nations-Unis.

Nous ne le dirons jamais assez, de nombreuses idées émises par des hommes d’État et qui peut-être auraient pu changer le cours de l’histoire des peuples, ne furent pas mises en chantier, faute d’acteurs capables et surtout acquis à la cause, à même de les vulgariser.

Sur le front de la bataille pour la protection de l’environnement et la promotion du leadership écologique et climatique du Président de la République du Congo Denis Sassou N’Guesso, le Docteur Michel Innocent Peya s’est positionné véritable relais, à travers ses livres.

La reconnaissance qu’il en tire à l’international, montrent que le message porte et que la vision écologique de Denis Sassou N’Guesso intègre les consciences à travers la planète.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

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