Bras d’honneur de Dupond-Moretti : l’exécutif oscille entre soutien et condamnation

Politique
Bras d’honneur de Dupond-Moretti : l’exécutif oscille entre soutien et condamnation

« Ce type d’incident, on s’en passerait, je ne vais pas vous dire autre chose », a glissé Gabriel Attal ce mercredi matin, au lendemain du double bras d’honneur du garde des Sceaux, qui a provoqué un tollé à l’Assemblée nationale.

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Bras d’honneur de Dupond-Moretti : « Ce comportement n’a pas sa place dans l’hémicycle », tance Élisabeth Borne

Face au tollé suscité, le ministre de la Justice a reconnu et « regretté » ses gestes qui n’étaient selon lui « pas adressés au député Marleix » mais à l’atteinte « à la présomption d’innocence ».

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Dupond-Moretti dans le viseur

Les bras d’honneur du ministre de la Justice dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale ont fortement déplu au sommet de l’État. Élisabeth Borne en personne a recadré « Acquittator », et peu de monde au sein de la majorité a défendu Éric Dupond-Moretti.

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Les procédures disciplinaires contre des magistrats ayant ferraillé face à l’avocat Dupond-Moretti continuent

L’ex-première présidente de la cour d’appel de Guyane comparaissait jeudi devant le Conseil supérieur de la magistrature. Une question de constitutionnalité a été déposée : la Première ministre a-t-elle le droit d’engager de telles procédures à la place du garde des Sceaux ?

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