Georgia Orellano : « La première violence que nous subissons en tant que travailleuses du sexe, c'est la violence institutionnelle. »

Georgia Orellano : « La première violence que nous subissons en tant que travailleuses du sexe, c'est la violence institutionnelle. »

Entre discriminations, phobies, violence institutionnelle et manque d’espace public pour s’exprimer, les travailleur·ses du sexe en Argentine se syndicalisent pour faire entendre leurs voix : du droit au travail décent, au droit au logement, lutte contre la misère et la pauvreté, mais aussi contre le paternalisme victimisant de l’État et parfois même des ONGs. Dans cette interview, l’activiste Georgina Orellano libère la parole pour libérer les tabous et donner une vision plus réaliste et consciente du travail du sexe.

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