Congo – Cop : 28 : Michel Innocent Peya a porté bien haut et avec succès la vision écologique de Denis Sassou-N’Guesso à Dubaï

Congo – Cop : 28 : Michel Innocent Peya a porté bien haut et avec succès la vision écologique de Denis Sassou-N’Guesso à Dubaï

Le prestige né de sa littérature verte le précède dans les grands forums où l’on débat de la santé écologique de la Planète, et ses écrits qui traduisent la vision écologique du Président Denis Sassou-N’Guesso ont force de constat et de propositions. À Dubaï où il a pris part à la Cop 28, l’écrivain-chercheur congolais de renommée internationale, le Docteur Michel Innocent Peya, Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’humanité et de l’Environnement, Michel Innocent Peya est arrivé avec un livre au contenu ô combien contributif, dont l’apport a séduit plus d’un participant car dégageant l’essence même du sommet des trois bassins forestiers tenus récemment à Brazzaville. Quoi de mieux, pour une mise en train, à un sommet sur le climat, qui se voulait celui des grandes décisions.

C’est presque désormais un rite, que Michel Innocent Peya participe à une grande rencontre climatique, avec un ouvrage qui marque les esprits et s’impose comme un apport technique et scientifique à l’endroit des participants.

À la Cop 28 à Dubaï, le Docteur Michel Innocent Peya, Ambassadeur des Droits et Devoirs de l’humanité et de l’Environnement est arrivé avec son nouvel ouvrage publié aux Éditions Tropiques Littéraires, intitulé : ‘’Position et Propositions commune des pays en développement et des Grands Bassin forestiers du monde – Synthèse et nouvelles perspectives’’.

Dans ce livre éminemment pédagogique qui s’appuie sur les engagements des pays en développement et des Grands Bassins forestiers du monde, l’auteur s’est mis en situation de proposer que la Cop 28 déclenche « une déclaration de guerre mondiale contre le changement climatique et ses conséquences catastrophiques », pour espérer un changement à la hauteur des enjeux et traduire les déclarations en actes.

De nombreux volets du livre posent le problème en termes clairs. Les engagements climatiques des pays du Sud, notamment ceux des trois bassins d l’Amazonie, du Bornéo-Mékong et du Congo, sont conditionnés à des financements massifs, stables et prévisibles. Mais on doit aussi prévoir un fond pour se protéger des conséquences déjà visibles du dérèglement climatique.

Vu leur responsabilité historique dans les émissions de gaz à effet de serre, c’est aux pays du nord d’aider les pays du sud à financer ces investissements.

Des positions que le Président congolais, Denis Sassou-N’Guesso a rappelé du haut de la tribune de la Cop 28, rappelant les efforts fournis par les pays du Massif du Bassin du Congo en matière de préservation des écosystèmes et de préservation de l’environnement, en se privant sans compensation de certaines ressources naturelles, ce, pour permettre au reste de l’humanité, de vivre mieux.

La promesse faite par les pays riches aux pays pauvres à la COP15 en 2009 à Copenhague où ils s’étaient engagés à mettre 100 milliards de dollars par an sur la table jusqu’à 2020 pour les aider à mener la transition écologique reste en l’état. 14 ans après, le texte de conclusion de la COP 28 « note avec de profonds regrets » que cet objectif n’est pas atteint.

« Les pays riches sont en défaut en matière de protection de la nature et de l’environnement. Le monde est appelé à s’engager, mais en même temps, les pays riches ne mettent toujours pas suffisamment d’argent sur la table pour rendre cette transition possible partout. »

Fort de la constance de ses écrits qui cadrent avec les préoccupations mises en débat, Michel Innocent Peya a véritablement joué sa partition et relevé à la face du monde qu’au Congo de Denis Sassou-N’Guesso, l’écologie est une priorité nationale et le combat pour la préservation des écosystèmes, un état d’esprit qui traduit la justesse même d’une vision, celle de léguer à la postérité, une planète viable et vivable.

Il contextualise les efforts diplomatiques du Président Denis Sassou-N’Guesso pour le climat, explique les enjeux fondamentaux et majeurs, et résume l’impact réel de cette diplomatie climatique active dans l’optique des intérêts stratégiques et vitaux de l’Afrique.

A Dubaï, « le messager du Congo dans le cadre de l’action pour la protection de l’environnement » pour paraphraser le président du Sénat congolais, Pierre Ngolo, tel un évangéliste infatigable, a enchaîné les signatures. Un sourire, une photo, pas le temps de s’appesantir.

De nombreux médias étrangers désireux d’en savoir davantage sur le substrat même de ses ouvrages, ont sollicité l’écrivain congolais pour des entretiens et des interviews.

Outre les sollicitations des médias, Michel Innocent Peya s’est adonné à des dédicaces auprès des participants de plus en plus nombreux, auprès desquels il est devenu une véritable référence incontournable sur les questions climatiques au Congo et en Afrique.

D’autres ont tenu à immortaliser la rencontre avec l’auteur par des clichés photos, à garder en souvenir de la rencontre avec cet homme qui fait la fierté de son pays, mais aussi de l’Afrique, pourquoi pas de l’humanité toute entière, tant le combat qu’il mène et la cause qu’il porte sont de dimension planétaire.

En investissant son intellect et son action littéraire à la cause du climat, sur fond des idées écolo-visionnaires du président Denis Sassou-N’Guesso, l’écrivain-chercheur le Docteur Michel Innocent Peya, avec pour seule arme sa plume, une plume puissante, saisissante qui sensibilise, traduit le sens d’un engagement fondé sur des valeurs qui se perpétueront par-delà les âges, un legs à la postérité.

En cela la contribution du Docteur Michel Innocent Peya à la Cop 28 à Dubaï, aura porté bien haut la vision écologique de Denis Sassou-N’Guesso.

Voila qui est sens du devoir. Un devoir qui force respect et admiration !

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Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

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