Élections législatives: Jordan Bardella veut «décréter la paix fiscale»
Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard ont débattu sur le plateau de TF1 mardi 25 juin, alors que le Rassemblement national caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de ces législatives anticipées. Premier chapitre de ce débat : le pouvoir d’achat. Le président du RN a notamment jugé que «l’urgence absolue, c’était ces millions de nos concitoyens» qui ne peuvent faire face aux «factures d’énergie n’ont eu de cesse d’augmenter.» «Je propose d’agir, et de baisser la TVA de 20% à 5,5 sur l’énergie, le gaz, le fioul, les carburants», a indiqué l’eurodéputé de 28 ans. *[h]: heures
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Élections législatives: Manuel Bompard justifie l’augmentation du SMIC à 1600 euros
Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard ont débattu sur le plateau de TF1 mardi 25 juin, alors que le Rassemblement national caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de ces législatives anticipées. «Si vous augmentez le SMIC aujourd’hui, vous allez déclencher dans l’économie française un cercle vertueux», a notamment justifié Manuel Bompard, alors que l’augmentation du SMIC à 1600 euros est une mesure phare du Nouveau Front populaire. *[h]: heures
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Un départ à la retraite à 60 ans sans la totalité des trimestres ne se fera pas à taux plein, selon Bompard
Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard ont débattu sur le plateau de TF1 mardi 25 juin, alors que le Rassemblement national caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de ces législatives anticipées. «Vous n’avez pas très bien compris comment fonctionne le système», a notamment taclé Manuel Bompard en réponse au président du RN sur le sujet des retraites. «Pour une personne qui commence à travailler à 24 ans, il doit avoir la possibilité de partir à la retraite de 60 ans mais il n’aura pas rempli tous ses trimestres, donc c’est à 64 ans qu’elle pourra partir à la retraite avec un taux plein», a-t-il finalement déclaré. *[h]: heures
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Jordan Bardella «s’engage à réduire drastiquement les flux» migratoires en cas de victoire
Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard ont débattu sur le plateau de TF1 mardi 25 juin, alors que le Rassemblement national caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de ces législatives anticipées. Sur le chapitre de l’immigration, le président du RN considère qu’il «bouleverse notre sécurité, notre identité» et pèse sur les comptes publics. Jordan Bardella s’est «engagé à réduire drastiquement les flux», et «redoute l’ouverture des vannes» en cas de victoire de la gauche. «Beaucoup de gens ne reconnaissent plus le pays dans lequel ils ont grandi», a ajouté l’eurodéputé nationaliste. *[h]: heures
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Débat Attal, Bardella et Bompard: «On a pas vu cet atmosphère de guerre civile qu’on décrit», estime Emmanuel Rivière
Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard ont débattu sur le plateau de TF1 mardi 25 juin, alors que le Rassemblement national caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de ces législatives anticipées. Pouvoir d’achat, immigration, retraites… Voici ce qu’il faut retenir avec le politologue Emmanuel Rivière. *[h]: heures
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Débat Attal, Bardella et Bompard: «Le nom de Mélenchon est problématique», analyse Emmanuel Rivière
Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard ont débattu sur le plateau de TF1 mardi 25 juin, alors que le Rassemblement national caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de ces législatives anticipées. Pouvoir d’achat, immigration, retraites… Voici ce qu’il faut retenir avec le politologue Emmanuel Rivière. *[h]: heures
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Pouvoir d’achat, immigration, retraites : ce qu’il faut retenir du débat Attal, Bompard et Bardella
Jordan Bardella, Gabriel Attal et Manuel Bompard ont débattu sur le plateau de TF1 mardi 25 juin, alors que le Rassemblement national caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de ces législatives anticipées. Voici ce qu’il faut retenir sur le pouvoir d’achat, l’immigration et les retraites. *[h]: heures
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Élections législatives: «Nous ne voterons ni pour un candidat du RN ni de LFI» au second tour, prévient François Bayrou
C’est le casse-tête du camp présidentiel. Alors que beaucoup de candidats macronistes seront en difficulté, voire éliminés, dès le premier tour des élections législatives anticipées ce dimanche 30 juin, quelle ligne de conduite adopter au second tour dans les circonscriptions où le Rassemblement national affrontera la gauche du «Nouveau Front populaire» ? Si le bloc central reste flou sur ce sujet épineux, et entend procéder au cas par cas, François Bayrou, s’est montré davantage précis. Invité mercredi soir de France 5, le président du MoDem a dit «être exactement sur la même position exprimée par une trentaine de responsables de l’opposition de gauche», comme Manuel Valls ou Bernard Cazeneuve, dans Le Monde. À savoir : «Nous ne voterons ni pour un candidat du RN ni de LFI». *[h]: heures