L’administration Trump censure le premier livre de Julianne Moore dans les écoles des enfants de militaires

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Le département de la Défense, qui gère 160 établissements scolaires, a demandé que tous les ouvrages qui traitent, de près ou de loin, de la diversité ou de l’inclusion soient retirés.

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Transphobie d’État : Trump signe un décret contre les athlètes transgenres

Le délire transphobe de Donald Trump continue : après s’en être pris aux personnes trans dans l’armée et aux transitions de genre des jeunes, le président des États-Unis compte empêcher la participation d’athlètes trans à des compétitions de sport féminin. “Avec ce décret, la guerre contre le sport féminin est terminée.” Avec sa rhétorique transphobe…

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Donald Trump annonce que les Etats-Unis imposeront des droits de douane réciproques

Ces droits de douane s’appliqueront aux alliés comme aux rivaux de Washington afin de supprimer les disparités dans les échanges commerciaux, a déclaré le président américain. Ils pourraient être mis en place dès le mois d’avril.

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Avec Donald Trump, le retour du maccarthysme aux Etats-Unis

Un mois après le retour du républicain à la Maison-Blanche, la seconde administration Trump se révèle bien plus idéologique, impériale et agressive que la première, réveillant à l’intérieur le souvenir de la « chasse aux sorcières » des années 1950 et ébranlant à l’extérieur la relation avec les alliés européens.

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Golfe du Mexique ou Golfe d’Amérique ? Google menacé pour son choix polémique

Le Mexique menace le géant de la Tech de poursuites judiciaires.

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Pourquoi Trump détruit systématiquement son pays : l’explication !

[

Je vous rappelle mon intuition que ces deux livres seront un jour mes livres les plus lus. Aux Éditions du Croquant.

](https://www.pauljorion.com/blog/2025/02/11/pourquoi-trump-detruit-systematiquement-son-pays-lexplication/)

Un fonctionnaire de l’administration Trump révèle que Joe Biden a manipulé l’élection en Roumanie

Un fonctionnaire de l’administration Trump révèle que Joe Biden a manipulé l’élection en Roumanie Grenell a révélé ce scandale pour la première fois le 3 février dans un message publié sur les réseaux sociaux, où il évoquait le scandale de l’USAID. « L’équipe Biden a dépensé l’argent des contribuables américains pour soutenir des programmes et des…

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L’intensification des recherches « BleachBit », « Effacer disque dur », « Banque offshore » à Washington suggère un mode panique de l’État profond

L’intensification des recherches « BleachBit », « Effacer disque dur », « Banque offshore » à Washington suggère un mode panique de l’État profond Les tendances de recherche sur Internet dans la région métropolitaine de Washington, DC, ont été tout simplement stupéfiantes ces dernières semaines, reflétant ce qui semble être une panique croissante au sein de la bureaucratie fédérale alors que…

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« Il s’agit peut-être de la plus grande fraude de l’histoire »

« Il s’agit peut-être de la plus grande fraude de l’histoire » Mise à jour : Stephen Miller EXPOSES MASSIVE FRAUD! “Foreign nationals coming to the United States using fake Social Security numbers and fake identities to steal billions in taxpayers' benefits. Cracking down on this fraud could SAVE $1 TRILLION over 10 years.” pic.twitter.com/72pXfkKco7 — Libs…

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Le président taïwanais promet des investissements aux Etats-Unis pour apaiser Donald Trump

Face aux menaces de droits de douane américains sur les puces électroniques, le président taïwanais, Lai Ching-te, a annoncé des investissements aux Etats-Unis et une hausse de son budget militaire. Une proposition qui fait débat dans l’île.

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Etats-Unis : Donald Trump veut instaurer des droits de douane réciproques

Le président américain a annoncé jeudi 13 février depuis la Maison Blanche la signature d’un décret imposant des droits de douane « réciproques» à tous les pays, soit équivalents, pour un produit donné, à ceux qui sont pratiqués par chaque pays sur le même produit en provenance des Etats-Unis. Une mesure qui va à l’encontre […]

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Donald Trump, président de la peine de mort

Le républicain se prépare à relancer l’exécution de peines capitales dont l’efficacité reste hautement discutable.

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La volonté de détruire selon Trump

Les premiers et inquiétants effets du vent de folie destructrice qui souffle sur le pays de John Kennedy et de Ronald Reagan.

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Le coup de maître de Donald Trump pour s’emparer de Mar-a-Lago, le club mondain le plus prisé des États-Unis

En 1985, Donald Trump achète le domaine de Mar-a-Lago. Un gouffre financier rapidement transformé en poule aux œufs d’or, après un tour de force risqué. …

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Aux Etats-Unis, 8 000 pages internet publiques supprimées au nom de la croisade idéologique de Donald Trump

Des données de divers sites publics sur des crimes haineux anti-LGBTQ, sur la santé mentale, l’addiction, les comportements discriminatoires raciaux à l’école, le harcèlement scolaire, les politiques environnementales : tout cela, disparu.

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États-Unis : Donald Trump lance des sanctions contre la Cour pénale internationale

Le président américain Donald Trump continue de signer des décrets. Ce jeudi 6 février 2025 dans la soirée, il a signé un texte prévoyant des sanctions contre la Cour pénale internationale (CPI) et ses membres. Dans la foulée, le ministre israélien des Affaires étrangères a « félicité » le président américain de cette prise de décision.

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États-Unis : arrestation massive de migrants illégaux le lendemain de l’investiture de Donald Trump

Tom Homan, le nouveau « tsar des frontières » selon Donald Trump.
Source : Gage Skidmore.

Publié le 20 janvier 2025
L’investiture de Donald Trump en tant que nouveau président des États-Unis a lieu ce lundi. La future administration Trump a annoncé vouloir procéder à des arrestations massives de migrants illégaux dès le mardi 21 janvier dans l’ensemble du pays.

Promesse de campagne

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Cette mesure qu’envisage le président américain, fait parti de ses promesses de campagnes où il avait affirmé à ses électeurs, qu’il comptait expulser des millions de migrants sans papiers. Il s’agira de la mission de Tom Homan que Donald Trump qualifie de « tsar des frontières ».

Pour Donald Trump, cette opération est « la plus grande opération d’expulsion de l’histoire américaine ».

Déroulement des expulsions

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Tom Homan annonce qu’il n’y aura aucune exception et que toutes personnes sans papiers sera reconduit à la frontière, mais il précise qu’il y aura des personnes à expulser en priorité, ceux qui menace la sécurité publique tout d’abord, allant d’une infraction au code de la route au crime.

Mardi, l’ICE va sortir et enfin faire son travail. Nous allons leur permettre d’arrêter les criminels étrangers. Ce que nous disons à l’ICE, c’est que vous allez appliquer la loi sur l’immigration sans vous excuser

Tom Homan , chargé des frontières dans l’administration Trump

La résistance de Chicago et de New York

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Le début des opérations doit se passer mardi et commencera tout d’abord par Chicago avant de s’étendre à tout le pays. La durée devrait être d’une semaine et impliquer entre 100 et 200 agents de l’ICE, la police des frontières. Pour l’administration Trump, la priorité est de s’attaquer à Chicago, une grande ville américaine dirigée par les démocrates et qui se sont déclarées être le « sanctuaire » pour les migrants.

Le maire démocrate de New York , Eric Adams, précise que la ville fera le nécessaire pour « protéger les droits des immigrés qui travaillent dur » , mais ne protégera pas « ceux qui commettent des crimes violents ». Le maire de New York est un ancien policier considéré comme appartenant à l’aile droite du parti démocrate.

La ville de New York a une forte population immigrée avec 30 % de la population née hors des États-Unis et environ 500 000 immigrés illégaux.

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États-Unis : Donald Trump signe plusieurs décrets le jour de son investiture

Donald Trump lors de son investiture en 2017.
Source : The White House.

Publié le 22 janvier 2025

Le 20 janvier marquait l’investiture du 47e président des États-Unis en la personne de Donald Trump . Le président a commencé à signer les premiers décrets de son mandat deux heures après son investiture.

Pour sa première journée, il a pris une centaine de décrets, dont certains concernent l’immigration clandestine, sa promesse principale de son programme.

Immigration

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L’armée à la frontière du Mexique

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L’un des décrets porte sur l’instauration de l’« état d’urgence nationale à la frontière sud du Mexique ». Ce texte vise à fournir aux forces militaires américaines les fonds nécessaires pour empêcher l’immigration clandestine qu’il qualifie de « désastreuse invasion » du Mexique vers les États-Unis.

Selon la porte-parole adjointe de la Maison-Blanche, Anna Kelly, autoriser ce décret signifie l’autorisation pour l’armée d’assurer la protection des frontières afin de permettre « la souveraineté, l’intégrité territoriale e la sécurité des États-Unis en repoussant les formes d’invasion, y compris les migrations massives illégales »

Derrière ce décret, il y a la volonté de reprendre la construction du mur à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis, l’une des mesures de son premier mandat qui a été stoppé lors de l’arrivée de Joe Biden à la Maison-Blanche.

Le retour du ‘’Muslim travel ban’’ ?

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Donald Trump envisage de remettre cette politique qui consiste à interdire le voyage des personnes venant de pays à majorité musulmane et d’autres nations qu’il avait déjà décidé en 2017 malgré une forte opposition et des polémiques juridiques. En effet, il viserait cette fois-ci d’autres pays, tels que la Syrie , le Yémen et la Lybie .

Vers une suppression de la libération conditionnelle humanitaire ?

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En janvier 2023, Joe Biden avait autorisé la protection juridique des citoyens de Cuba , d’Haïti , du Nicaragua et du Venezuela à demander l’entrée aux États-Unis pour un séjour maximal de deux ans et à obtenir un permis de travail. Selon les experts, il est probable que le nouveau président supprime cette mesure.

La fin du droit d’asile et du droit du sol ?

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Un certain nombre de décrets sur l’immigration ont pour objectif de mettre fin au droit de demander l’asile à la frontière en permettant l’expulsion immédiate et l’abolition du droit du sol.

La porte-parole de la Maison-Blanche a affirmé que l’objectif n’était pas de supprimer purement le droit du sol, mais de ne plus l’accorder automatiquement, elle vise ici, les enfants qui seraient nés sur le sol américain, mais dont les parents sont en situation irrégulière.

Il prévoit d’instaurer ce qu’il nomme « Remain in Mexico », c’est-à-dire une politique qui oblige les demandeurs d’asile venus du Mexique et d’Amérique centrale à attendre le résultat de leurs demandes de papiers de l’autre côté de la frontière.

La désignation du gang vénézuélien comme groupe terroriste

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Donald Trump a émis le souhait de considérer le gang vénézuélien comme un « groupe terroriste ». Cela permettrait au Pentagone de faire usage des forces spéciales armées pour cibler les infrastructures et dirigeants des cartels, mais aussi d’expulser les membres de gangs et trafiquants de drogue.

Mesure contre les personnes transgenres

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Donald Trump a annoncé lors de son discours d’investiture, qu’il n’y avait que « deux sexes », l’homme et la femme. Cela implique qu’il souhaite prendre un décret pour obliger l’administration américaines à reconnaître seulement l’existence des femmes et des hommes, mais plus la situation des transgenres dans le but de « défendre les femmes face à l’extrémisme idéologique du genre et à restaurer la vérité biologique au sein de l’État fédéral ».

Taxes pour les pays étrangers

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Par ce décret, Donald Trump veut éviter de taxer les américains pour « enrichir d’autres pays » en imposant des droits de douane et des taxes aux pays étrangers.

L’état d’urgence énergétique et la sortie de l’accord de Paris sur le climat

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Le nouveau président américain a annoncé la sortie des États-Unis de l’accord de Paris qui vise à limiter le réchauffement climatique. Dans le même temps, il annonce vouloir accélérer la production du pétrole pour lutter contre l’inflation et sa volonté de « forer à tout-va ».

Pérennité des décrets présidentiels signés

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Selon Ludivine Gilli, directrice de l’observatoire Amérique du Nord de la Fondation Jean-Jaurès, Donald Trump cherche à faire passer un message à ses partisans pour montrer qu’il veut « gouverner par l’action rapide et symbolique » , mais certains des décrets pourraient être contestés voire annulés par la justice.

Même si le président proclame la fin du droit du sol, Ludivine Gilli déclare que ce décret ne pourra pas être valide, car la seule façon de créer cette interdiction est de modifier la Constitution. De plus, cette mesure risque d’être difficile à mettre en place, car des organisations ont annoncé leur volonté de saisir la Justice au motif que le droit du sol, ainsi que le droit d’obtenir le passeport américain est inscrit dans la Constitution, ce qui conduit à considéré qu’un enfant né sur le territoire américain, a la nationalité américaine et qu’il est impossible d’interdire l’obtention de passeports américains

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États-Unis : le FBI menacé par une purge de la part de Donald Trump

Quartier général du FBI.
Source : FBI Headquarters.

Publié le 3 février 2025
Le département de la Justice des États-Unis a demandé aux dirigeants du FBI d’établir une liste contenant toutes les identités des agents ayant travaillé sur l’assaut du Capitole. Cela fait suite notamment aux renvois voulu par l’administration Trump, de procureurs qui ont pris part à l’enquête.

Des menaces de longues dates

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Lors de sa campagne électorale, Donald Trump avait dit être « victime d’un complot » face aux affaires judiciaires dont il faisait l’objet.

En septembre 2024, il annonce son intention de poursuivre en justice les fonctionnaires en charge des enquêtes visant à déterminer sa responsabilité dans différents dossiers, dont celui qui a conduit à l’attaque du Capitole le 6 janvier 2021, suite à sa défaite face à Joe Biden .

Donald Trump avait dénoncé le système américain, le qualifiant de « militarisation du gouvernement fédéral ». Il a continué en affirmant que les enquêteurs « ont triché » et « seront poursuivis avec toute la rigueur de la justice, ce qui inclura de longues peines de prison ».

Le renvoi de plusieurs procureurs

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Une trentaine de procureurs fédéraux ayant participé aux enquêtes concernant Donald Trump ont déjà été limogés pour « manque de confiance », estimant qu’ils ne seront pas en mesure de « mettre en œuvre fidèlement le programme du président » selon un courrier du procureur général nommé par Donald Trump, James McHenry, adressé aux personnes concernées. Cette motivation aurait été confirmée par l’un des responsables qui a été renvoyé.

Le procureur spécial Jack Smith a donné sa démission suite à la victoire de Trump. Il était en charge de deux procédures pénales à l’encontre du président, l’une sur des tentatives illégales d’inverser les résultats électoraux de 2020, et l’autre sur la possession de documents classifiés après la fin de son mandat. Cependant, aucune des deux affaires n’a fait l’objet d’un procès étant donné que Jack Smith a demandé de ne pas poursuivre un président en exercice.

Les grâces présidentielles et la purge du FBI

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Lire aussi :États-Unis : un assaillant du Capitole gracié abattu par la police pour un refus d’obtempérer

Le 20 janvier dernier, Donald Trump devenait président des États-Unis. Dès son premier jour, il a décidé de gracier plus de 1 200 émeutiers ayant participé à l’attaque des policiers et du Capitole en les considérant comme des « otages ».

Deux semaines après son arrivée au pouvoir, Donald Trump envisage de s’en prendre aux agents du FBI, la police fédérale, qui a enquêté sur les affaires pour lesquelles il était accusé.

Ainsi, plusieurs dizaines de hauts responsables du FBI vont faire l’objet d’une enquête avant un possible licenciement. Selon CNN , six responsables de l’agence ont reçu l’ordre de « prendre leur retraite, de démissionner ou d’être virés d’ici au lundi 3 février ».

D’après NBC News, 20 responsables de bureau du FBI, y compris ceux de Miami et de Washington , devraient être limogés après un entretien. D’autres personnes pourraient encourir la même sanction, comme le chef du FBI, Bryan Driscoll, qui doit faire la liste des agents ayant enquêté sur le président, et son adjoint, mais aussi potentiellement plus d’une centaines d’agents.

Une inquiétude des fonctionnaires du FBI

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Lire aussi :États-Unis : le directeur du FBI annonce sa démission avant l’entrée en fonction de Trump

Les fonctionnaires de l’agence se sont exprimés dans un communiqué en estimant que :

Le licenciement de centaines d’agents affaiblirait gravement la capacité du Bureau à protéger le pays contre les menaces criminelles et de sécurité nationale, et risquerait en fin de compte d’entraîner le Bureau et sa nouvelle direction dans l’échec

Communiqué de l’Association des agents du FBI

Ce communiqué fait suite à la nomination de Kash Patel comme directeur du FBI, un proche de Donald Trump et reconnu pour des propos parfois complotistes. Ce dernier affirmant devant les sénateurs, qu’il n’était pas au courant d’un plan visant à punir les agents ayant enquêté sur Donald Trump.

La réaction des démocrates

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Lire aussi :États-Unis : Joe Biden accorde des grâces préventives avant de quitter la présidence

De nombreuses contestations se sont élevées dans les rangs des démocrates qui s’indignent face à cette décision en estimant que cette mesure a pour objectif d’apporter l’anarchie et le désordre.

« En s’efforçant de licencier des centaines d’agents des forces de l’ordre dévoués et en sapant les fonctionnaires patriotes et respectueux des principes du FBI, les extrémistes d’extrême droite prouvent une fois de plus qu’ils sont le parti de l’anarchie et du désordre »

— Hakeem Jeffries, chef de file démocrate à la Chambre des représentants et élu de New York

« Le président élimine ceux qui sont fidèles à la Constitution et installe ceux qui lui sont fidèles »

— Adam Schiff, sénateur démocrate de Californie

« Des laquais non-élus de Trump mènent une vengeance politique généralisée contre les représentants de carrière des forces de l’ordre de notre pays (…) un coup dur majeur pour l’intégrité et l’efficacité du FBI et du ministère de la Justice. Il s’agit d’une attaque éhontée contre l’État de droit qui porte également gravement atteinte à notre sécurité publique »

— Dick Durbin, sénateur démocrate de l’Illinois

Face à cette menace du président Trump, son prédécesseur, Joe Biden, avait accordé des grâces préventives pour les personnes ciblées par le nouveau président, dont les enquêteurs du 6 janvier 2021, les membres de la commission d’enquête en charge de cette affaire ainsi que les policiers ayant témoigné.

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États-Unis : Donald Trump souhaite contrôler la bande de Gaza

Dégâts et destructions dans la bande de Gaza.
Source : Wafa.

Publié le 5 février 2025
Mardi, le président américain Donald Trump a affirmé comme objectif, celui de prendre le contrôle de la bande de Gaza . Le Hamas a dénoncé une « proposition raciste américaine s’alignant avec celle de l’extrême droite israélienne »

Prise de contrôle à long terme

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Pour Donald Trump, la volonté de s’emparer de l’enclave palestinienne a pour but de démanteler les bombes dangereuses qui n’ont pas explosé. Cette déclaration s’est faite lors de sa rencontre avec le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou en visite à la Maison Blanche. Le président américain avait garanti au Premier ministre israélien, que s’il venait dans son pays, il ne le ferait pas arrêter malgré le mandat d’arrêt international dont il fait l’objet pour la guerre israélo-palestinienne.

Le président américain affirme que les voisins de Gaza disposent de « beaucoup d’argent » à disposition afin de reconstruire l’enclave et de son côté, il affirme avoir la volonté de réparer la bande en retirant les gravats et en reconstruisant les bâtiments.

Le président américain n’a pas précisé la stratégie qu’il emploierait pour prendre possession du territoire palestinien, selon certains experts, il ne peut s’agir que d’une intervention militaire, mais avec le risque que l'ONU s’y oppose fermement. Dans tous les cas, il a précisé que cela se produira « à long terme ». Donald Trump évoque également un projet pour l’avenir visant à retirer les gravats de la bande de Gaza pour y construire des complexes et développer un ensemble économique, tout en déplaçant l’ensemble des palestiniens en dehors de la bande de Gaza afin de transformer cette région pour en faire la « Côte d’Azur du Moyen-Orient ».

Réactions internationales

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Bien que Benyamin Nétanyahou salue l’idée des États-Unis en l’estimant bonne et considérant Donald Trump comme le « meilleur ami qu’Israël ait jamais eu à la Maison Blanche » , de nombreuses critiques se font entendre.

Tout d’abord, du côté de la Palestine, les principaux concernés, Le Hamas estime que ce projet est « raciste » et demande à ce que les palestiniens soient respectés dans le choix de partir ou non de chez eux. Les palestiniens, quant à eux, ne veulent pas partir de leur terre et se disent « indignés » face à l’annonce des États-Unis. Le régime palestinien cherche à convaincre de l’attachement de la population avec Gaza en expliquant que, malgré les affrontements en cours, ceux-ci ont déjà manifesté leur volonté de « reconstruire les écoles, les hôpitaux, les routes, les infrastructures et les maisons » , et que les palestiniens sont retournés d’eux-mêmes à l’endroit où ils résidaient auparavant malgré les ruines.

L'Allemagne rappelle sa volonté de voir la création de deux États et que la Palestine ne doit pas être « de nouveau colonisée ». La même position ayant été prise par le Royaume-Uni plus tôt dans la journée.

Du côté de l'Arabie Saoudite , l’opposition au projet du président américain est forte. Les représentants de ce pays demandent la création d’un État palestinien, bien que le président américain affirmait le contraire. Le régime saoudien affirme que la position de l’État saoudien « de manière claire et explicite (…) ne permet pas d’interprétation ».

Le ministère des Affaires étrangères turc estime « inacceptable » la décision américaine. Hakan Fidan , le ministre des Affaires étrangères refusent de discuter de l’expulsion de la population, affirmant que cette question n’a pas de raison d’être, car il n’en a jamais été question auparavant.

La Chine dit s’opposer au déplacement « forcé » de la population gazaouie. Pour Pékin , il faut un gouvernement palestinien pour diriger la Palestine, car c’est « le principe de base de la gouvernance d’après-guerre de Gaza ».

Du côté de la France , un communiqué a fait mention de la volonté de poursuivre la création de deux États et continue de « marquer son opposition à la colonisation, contraire au droit international ».

L'Égypte reconnaît la nécessité de reconstruire rapidement la bande de Gaza, mais précise également qu’il ne doit pas y avoir de déplacement de la population, car les habitants sont « attachés à leur terre » et « refusent de la quitter ».

Une vague d’opposition au sein des États-Unis

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Suite à l’annonce du président, de nombreux démocrates ont fait savoir leur opposition à ce projet et de nombreux manifestants pro-palestiniens sont sortis manifester à Washington D.C, face à la Maison Blanche, pendant la visite du Premier ministre israélien.

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L’ŒIL DE RAPHAËL - Pages internet supprimées aux États-Unis: la purge de Donald Trump

VIDÉO - Aux Etats-Unis, une page internet dédiée au changement climatique sur le site de la Maison Blanche a été supprimée. Ce n’est pas la seule, de nombreuses pages sur des sites institutionnels ont disparu.

Lire la suite sur bfmtv.com