Attentat de Mulhouse : la rétention administrative, un rempart fragile contre le terrorisme
DÉCRYPTAGE - L’assaillant de Mulhouse, sous OQTF était passé par un centre de rétention administrative puis libéré avec assignation à résidence. En France, les règles fixent des limites difficiles à repousser.
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Attentat de Mulhouse : ce terroriste islamiste dont Alger ne voulait pas
Brahim A., 37 ans, était à la fois un clandestin inexpulsable, un radicalisé sortant de prison et un « cas psy ». Armé d’un couteau et d’un tournevis, il a tué samedi à Mulhouse un homme de 69 ans.