Cuisinez plus vite, payez moins : des gestes simples pour une cuisson plus efficace qui allège vos factures

Cuisinez plus vite, payez moins : des gestes simples pour une cuisson plus efficace qui allège vos factures

Cuisiner plus rapidement ne relève pas uniquement de la maîtrise des gestes. Le matériel utilisé, les techniques adoptées et l’organisation globale peuvent transformer l’expérience en un gain notable de temps et surtout d’énergie. Or, alors que les factures grimpent et que le temps libre se réduit, il devient essentiel de repenser ses habitudes en cuisine. Loin des recettes miracles ou des gadgets inutiles, certaines méthodes simples permettent d’optimiser la cuisson tout en allégeant l’impact sur le portefeuille. Ces gestes souvent méconnus ou oubliés (à l’instar dela cuisson passive pour cuire les pâtes sans gaz par exemple) redonnent du pouvoir au cuisinier et transforment la routine culinaire en un acte plus économique et réfléchi.

Miser sur les bons ustensiles pour optimiser la diffusion de chaleur pendant la cuisson

Le choix du matériel joue un rôle déterminant dans la rapidité de cuisson. Les casseroles et poêles à fond épais ou multicouches, souvent en inox ou en fonte, conservent et répartissent mieux la chaleur. Une fois la température atteinte, il est possible de baisser l’intensité de la plaque tout en maintenant une cuisson efficace. Cela évite non seulement une surconsommation d’énergie mais permet aussi une cuisson plus régulière et plus rapide.

À l’inverse, les ustensiles trop légers, en aluminium fin ou déformé, perdent de la chaleur dès que la plaque est diminuée, ce qui allonge inutilement le temps de cuisson. Investir dans quelques bons outils de base, robustes et durables, constitue donc une stratégie gagnante sur le long terme.

Cuisiner avec un couvercle : un geste simple pour un gain immédiat

Utiliser un couvercle ne devrait jamais être une option, sauf dans les rares cas où l’on cherche à faire évaporer un liquide. En effet, couvrir une casserole ou une poêle permet de conserver la chaleur et la vapeur , ce qui accélère considérablement la cuisson. En moyenne, ce simple geste peut réduire de 30 % le temps nécessaire pour faire bouillir ou cuire des légumes, du riz ou des pâtes. Au-delà du gain de temps, cela empêche aussi la déperdition de chaleur, limitant ainsi la consommation énergétique. Même lors de la cuisson à feu doux, la présence d’un couvercle maintient une température stable, réduisant le besoin de remonter la puissance.

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Adapter la puissance pour éviter la surconsommation lors de la cuisson

Contrairement à une idée reçue, cuire à puissance maximale n’est pas toujours la solution la plus rapide. Une chaleur trop forte brûle l’extérieur sans cuire l’intérieur et pousse à prolonger la cuisson. En ajustant progressivement la température, on évite ces désagréments tout en conservant un contrôle optimal. Dans le cas du four, préchauffer uniquement quand c’est indispensable évite aussi une perte d’énergie inutile. Beaucoup de plats supportent d’être enfournés à froid, notamment les gratins ou les tartes salées.

Éteindre le feu avant la fin et bien planifier pour une cuisson moins énergivore

Interrompre la cuisson quelques minutes avant la fin permet de profiter de la chaleur résiduelle , en particulier pour les aliments qui continuent à cuire hors du feu. Les pâtes, le riz ou les pommes de terre sont de parfaits exemples. En coupant la plaque et en maintenant le couvercle bien fermé, la température reste suffisante pour terminer la cuisson en douceur. Cette méthode présente un double avantage : réduire la consommation d’énergie et éviter la surcuisson.

La planification joue un rôle clé. En regroupant plusieurs cuissons au même moment, on optimise l’usage de l’énergie dégagée par les plaques ou le four. Préparer deux plats en parallèle, ou cuire un dessert pendant que mijote un plat principal, limite le nombre d’allumages. Dans le même esprit, utiliser la chaleur résiduelle d’un four ou d’une plaque pour terminer une cuisson s’avère judicieux.

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L’autocuiseur, un allié incontournable de l’économie d’énergie

Parmi les équipements les plus performants pour cuire rapidement et à moindre coût, l’autocuiseur (ou cocotte-minute) reste imbattable. Grâce à la pression qu’il génère, il permet de faire cuire des plats en deux à trois fois moins de temps qu’avec une casserole traditionnelle. Un pot-au-feu, des légumes vapeur ou un riz au lait cuisent en un temps record tout en conservant leurs qualités nutritives. De plus, la cuisson sous pression retient mieux les arômes et les vitamines. L’économie d’énergie est également notable , puisque le feu peut être coupé quelques minutes avant la fin : la pression interne poursuit naturellement la cuisson. Pour maximiser ces avantages, il convient de bien adapter la quantité d’eau et d’éviter de surcharger la cuve.

Préparer les aliments avant cuisson pour gagner du temps en cuisinant

Le gain de temps ne se joue pas seulement sur le feu. Découper les légumes en petits morceaux , râper certains ingrédients ou les précuire légèrement au micro-ondes permet de réduire le temps passé sur la plaque. Plus les morceaux sont fins, plus ils cuisent vite. Cette règle vaut aussi bien pour les carottes que pour les pommes de terre ou les blancs de volaille. En outre, sortir les aliments du réfrigérateur quelques minutes avant leur cuisson évite une baisse soudaine de température dans la poêle ou le four. Une viande portée à température ambiante cuit plus vite et plus uniformément qu’une pièce froide directement saisie à la poêle.

Le micro-ondes : une méthode rapide pour cuire ses aliments

Souvent relégué à la réchauffe des restes, le micro-ondes peut pourtant être un atout pour certaines cuissons. Il permet de précuire rapidement des légumes, de cuire une pomme de terre en quelques minutes ou même de faire fondre du beurre sans allumer la plaque. À condition d’être utilisé avec discernement, il permet des économies d’énergie substantielles sur des préparations simples. Attention toutefois à la qualité des contenants utilisés. Seuls les matériaux compatibles garantissent une cuisson sans danger et efficace.

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Choisir les bonnes sources de chaleur selon le plat

La plaque à induction reste aujourd’hui la plus rapide et la plus économe. Elle chauffe directement le fond de l’ustensile sans perte de chaleur sur les côtés. Si vous cuisinez au gaz ou sur une plaque électrique classique, l’ alignement entre la taille de la casserole et celle du foyer est essentiel : une flamme qui dépasse ou une plaque trop grande gaspille inutilement de l’énergie. Choisissez donc une poêle ou une casserole d’une taille adaptée à la quantité d’ingrédients, mais aussi au foyer.

Certains plats gagnent également à être cuits au four plutôt qu’à la poêle, surtout s’ils nécessitent une cuisson longue et régulière. Le tout est de bien adapter la source de chaleur à la nature de l’aliment et à la durée prévue.

Intégrer les restes pour limiter les cuissons futures

Enfin, réutiliser les restes intelligemment permet de limiter les nouvelles cuissons. Un reste de légumes peut devenir une omelette, un fond de purée enrichir une soupe, un blanc de poulet se transformer en salade composée. Cette logique circulaire évite de rallumer inutilement les plaques et favorise une cuisine plus raisonnée.

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Ne payez plus vos fruits et légumes plein pot ! Ces stratégies permettent de manger frais sans exploser votre budget

On entend souvent qu’il faut manger cinq fruits et légumes par jour. Toutefois, les prix ont eu tendance à beaucoup augmenter, notamment avec les conditions météo qui ont été peu favorables, mais aussi l’inflation qui rend l’addition particulièrement salée. Dans un contexte de hausse des prix, mais aussi le reste du temps où les économies sont toujours appréciables quand on a un budget limité, toutes les astuces sont bonnes à prendre pour payer ses fruits et légumes moins cher. Celles que nous vous proposons sont en outre plus honnêtes et légales que celle qui consiste à soulever le sachet au moment de la pesée ! De quoi consommer malin et se faire plaisir avec des produits frais colorés et bons pour la santé toute l’année.

1) Les cultiver dans un coin de jardin

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Pour économiser, installez un carré potager dans votre jardin ou quelques pots et bacs sur votre balcon . Il n’en faudra pas plus pour y faire pousser vos propres denrées et ainsi limiter les allers-retours au supermarché. Et si vous n’avez pas la main verte, pas de panique : ce n’est qu’un mythe… Il n’y a en effet nul besoin d’être un expert pour faire pousser de délicieuses choses. Si vous êtes un jardinier peu rompu à l’exercice du jardinage, il vous suffit d’opter pour des variétés productives et faciles à entretenir pour vous mâcher un peu le travail. Le plus important est de se renseigner un peu sur les gestes d’entretien de base pour chaque plant et vous vous en sortirez à merveille.

2) Consommer strictement des fruits et légumes de saison pour payer moins cher

Lorsque vous consommez des produits hors saison, vous payez plus cher à cause du transport, car ces aliments viennent de très loin. Et en plus, les fruits et légumes locaux et de saison seront non seulement moins chers, mais ils auront aussi qualités gustatives et nutritionnelles bien supérieures à ceux qui ont mûri dans un frigo ou sur un bateau et qui ont poussé à grand renfort de pesticides et autres lumières artificielles dans des serres chauffées. Vos papilles, votre santé comme votre portemonnaie ne s’y tromperont pas : manger de saison, c’est bien meilleur !

3) Privilégier les produits bruts pour faire de grosses économies

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Salades en sachet, pastèque prédécoupée, carottes râpées… Non seulement on ne s’y retrouve pas toujours au niveau du goût et de la conservation, mais en plus, ces produits peuvent être jusqu’à cinq fois plus chers que les fruits et légumes bruts. Alors, certes, on perd un peu de temps à éplucher et découper (notamment quand il s’agit de légumes difficiles à éplucher comme le potimarron ou la courge ). Toutefois, ces produits non transformés permettent de faire de vraies économies, le tout en réduisant ses déchets plastiques. En plus, ces produits préparés ont un prix plus élevé au kilo que les produits bruts bio. Alors, ça mérite bien d’aiguiser ses couteaux et faire chauffer l’économe !

4) Aller s’approvisionner ailleurs pour payer ses fruits et légumes moins cher

Les supermarchés se font une marge sur tous les produits. Par ailleurs, plus le circuit est court, plus les coûts de transport, de stockage et de distribution sont réduits. Aussi, pour des prix défiant toute concurrence, il ne faut pas hésiter à aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte ! En effet, les prix sont souvent beaucoup plus intéressants dans les sources d’approvisionnement alternatives telles que les ruches, les magasins de production ou les AMAP (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) de votre région. Vous pouvez aussi vous rendre au marché pour acheter ce qu’il vous faut auprès du maraîcher. Si vous y faites un tour en fin de marché, vous ferez de bonnes affaires auprès des marchands qui voudront écouler leur stock.

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Arrêtez de gaspiller toute cette eau ! Ces idées toutes bêtes vous font économiser gros à chaque fois que vous tirez la chasse

Avec en moyenne 9 l d’eau qui finissent dans les égouts à chaque chasse tirée, et ce, quatre à cinq fois par jour et par personne, nos toilettes engloutissent près d’un tiers de notre consommation d’eau potable. Ainsi, l’INSEE estime que chacun d’entre nous consomme la quantité faramineuse de 24 000 litres d’eau chaque année rien qu’en utilisant les wc. Si vous n’êtes pas prêts à passer aux toilettes sèches, peut-être serez-vous au moins intéressés par l’idée de faire un geste pour la planète en adoptant quelquesgestes faciles pour économiser l’eau des toilettes au quotidien. Vous ferez par le même temps quelques économies appréciables, ces dépenses représentant un budget d’environ 180 euros par an pour une famille de quatre personnes (soit quinze euros mensuels).

Votre portemonnaie ne s’en portera donc que mieux, tout comme cette ressource précieuse et qui a tendance à se raréfier qu’est l’eau !

1) Ne pas tirer la chasse d’eau systématiquement

Pour la grosse commission, nous n’avons pas d’autre choix que de tirer la chasse d’eau. Toutefois, pour des urines généralement peu odorantes, ce geste n’est pas nécessaire. Vous pouvez donc instaurer cette règle au sein de votre foyer pour éviter que des litres d’eau ne soient gaspillés à chaque passage aux toilettes. Vous ne constaterez au final des mauvaises odeurs que si vous passez plusieurs jours sans tirer la chasse. Si vous adoptez cette bonne habitude, faites néanmoins attention à la quantité de papier toilette que vous utilisez. Un excès risque en effet de vite s’accumuler et pourrait vite créer un bouchon. Avec une utilisation normale, cela ne devrait cependant pas poser le moindre problème !

2) Diminuer le volume de la chasse d’eau pour économiser l’eau des toilettes

Les 9 l en moyenne utilisés pour évacuer les déjections et garder des wc sains sont largement supérieurs à la quantité réellement nécessaire pour accomplir cette tâche. En effet, 4 à 6 litres d’eau seraient ici suffisants. Si vous envisagez de changer vos installations, optez donc pour un réservoir de chasse d’eau dont la contenance est inférieure à 9 litres. Ils ont tendance à se démocratiser de plus en plus en magasin.

Le cas échéant, vous pouvez avoir recours au système D en installant une bouteille en plastique remplie d’eau (ou un bocal) ou encore une brique dans le réservoir pour occuper une partie du volume normalement occupé par l’eau. Pour utiliser une quantité d’eau moindre, vous pouvez aussi investir dans un kit de plaquettes Éco-WC à insérer au fond du réservoir des wc. Elles permettent de retenir le surplus d’eau normalement gaspillé au cours de la chasse d’eau. Cela permet d’économiser plus de 4 000 l d’eau par an et par personne.

3) Récupérer l’eau de la douche : le geste deux en un !

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Si votre premier réflexe au moment de prendre votre douche est de lancer l’eau et de vous déshabiller le temps qu’elle chauffe, cette astuce pourrait vous intéresser. Elle consiste à verser cette eau froide dans un bac ou un seau et à la conserver afin de pouvoir la verser dans la cuvette au lieu de tirer la chasse lors de votre prochain passage aux toilettes. Ainsi, ces précieux litres d’eau qui finissent habituellement dans les tuyaux trouveront enfin une utilité. Et après tout, elle n’est pas gratuite, alors autant en faire un bon usage pour éviter son gaspillage et ne pas faire exploser votre facture d’eau inutilement !

4) Vous assurer qu’il n’y a pas de fuite d’eau

Les pertes d’eau en cas de fuite peuvent être énormes, surtout si le problème perdure dans le temps. N’hésitez donc pas à vérifier vos installations régulièrement et à relever le compteur d’eau pour identifier les éventuelles fluctuations inexplicables liées à une fuite invisible. Verser du colorant alimentaire dans la cuve permet aussi de vérifier la présence d’une déperdition au niveau des petits coins. Si les parois se colorent au bout de quelques minutes ou heures, c’est sans doute qu’il y a un problème quelque part ! Dans ce cas, ne tardez pas à agir rapidement.

5) Installer une chasse d’eau à double débit

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Des installations plus anciennes, et notamment celles qui sont dépourvues de chasse d’eau à double débit se révèlent particulièrement gourmandes en eau sur le long terme. L’installation d’une chasse d’eau plus économique avec un bouton pour la petite commission et un autre pour la grosse est donc très utile pour réaliser des économies d’eau substantielles au quotidien d’environ 40 à 60 %.

6) Investir dans des toilettes combinées à un lave-mains pour économiser l’eau

Ces toilettes comprennent un petit lave-mains peu encombrant et situé au-dessus du réservoir de la chasse d’eau. C’est un dispositif très utile qui permet de récupérer l’eau utilisée pour le lavage des mains afin de la déverser au moment de la prochaine chasse. Son objectif n’est donc pas de remplacer le lavabo de la salle de bain, mais bien d’économiser de l’eau avec une installation 2 en 1.

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Passer au point mort pour économiser du carburant : est-ce vraiment utile… ou un piège à éviter ?

Malheureusement, nous subissons tous de plein fouet la hausse du prix de l’essence. Toute astuce est alors bonne à prendre pouréconomiser un peu quand on fait le plein et pour économiser son précieux carburant. Mus par cette motivation de faire des économies d’essence ou de gazole, de nombreux automobilistes passent au point mort. Le moteur et les roues ne sont alors plus couplés et la voiture continue d’avancer, notamment lorsque l’on est en pente. On peut alors penser que le véhicule ne consomme rien, mais est-ce bien le cas ? Découvrez dans cet article la surprenante réponse concernant cette habitude répandue.

Passer au point mort pour économiser de l’essence : est-ce une bonne idée ?

En réalité, cela ne permet pas de faire des économies d’essence. En effet, à l’exception des voitures hybrides qui ont un système de " Pulse & Glide", nos véhicules sont le plus souvent équipés d’un moteur à injection. Lorsqu’ils roulent, et ce, même au ralenti ou au point mort, ils nécessitent ainsi un apport en carburant. Pire encore, vous risquez de consommer encore plus qu’à l’utilisation systématique du frein moteur. Ce dernier permet en effet quant à lui de complètement couper le flux de carburant. En utilisant le frein moteur, les roues vont alors entraîner le moteur et réduire le besoin en essence de votre moyen de locomotion. Cela vaut plus particulièrement pour les trois premières vitesses. Mieux vaut donc lever le pied de la pédale d’accélérateur !

[caption id=“attachment_26228” align=“aligncenter” width=“960”] Crédits : amilalakmal / Pixabay[/caption]

Cette pratique peut aussi présenter un vrai danger…

Rouler au point mort peut être dangereux, notamment si vous devez freiner en urgence. En effet, le circuit de freinage fonctionne mieux quand le moteur tourne et les freins ont ainsi besoin de l’activité du moteur pour procéder au freinage efficacement. Dans les situations dangereuses (par exemple pour une descente sur un col de montagne), mieux vaut donc éviter de rouler au point mort pour ne pas vous mettre en danger ou mettre en danger les autres conducteurs avec qui vous partagez la route ainsi que les piétons.

Le point mort est au final à réserver aux situations où vous vous arrêtez sans pour autant couper tout de suite le moteur comme à un feu rouge.

Alors, comment économiser de l’essence ? Une conduite souple et anticipée est la clé !

La manière la plus efficace d’économiser du carburant est d’adapter votre manière de conduire. Cela passe par de nombreux petits réflexes d’éco-conduite qui ne changeront pas votre confort de conduite, mais qui vous permettront d’économiser jusqu’à 35% de votre consommation d’essence. Parmi les bonnes habitudes à prendre , certaines sont plus efficaces que d’autres !

Adopter une conduite économique commence avant même de prendre le volant. Préparer son itinéraire à l’avance permet en effet d’éviter les détours inutiles, les embouteillages et les routes accidentées qui augmentent la consommation de carburant. Utiliser une application GPS en temps réel aide à choisir le trajet le plus fluide et à anticiper les ralentissements. De plus, démarrer en douceur sans accélérations brusques et maintenir une vitesse stable sont des réflexes essentiels. Sur autoroute, rouler à 110 km/h au lieu de 130 km/h peut réduire la consommation de carburant de 20 % , sans pour autant allonger significativement le temps de trajet.

Une conduite souple et anticipative est la clé pour limiter la consommation. Freiner progressivement plutôt que de s’arrêter brutalement permet d’éviter les dépenses inutiles d’énergie. L’idéal est d’utiliser le frein moteur , en levant le pied de l’accélérateur en amont des ralentissements, ce qui coupe l’injection de carburant. En ville, passer rapidement aux rapports supérieurs et éviter de rester trop longtemps à bas régime optimise la consommation. Il peut aussi être utile d’éviter d’ouvrir les fenêtres et de surcharger la voiture (galerie, etc.) ainsi que de limiter l’utilisation des appareils électroniques ou de la climatisation autant que possible.

Enfin, l’entretien du véhicule joue un rôle crucial : une pression de pneus insuffisante augmente la résistance au roulement et peut entraîner une surconsommation de 5 à 10 %. Vérifier régulièrement la pression des pneus et alléger le véhicule en retirant les charges inutiles permet ainsi de rouler plus efficacement tout en économisant du carburant.

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Garder ses pommes de terre épluchées intactes pendant des heures sans noircir : l’astuce de grand-mère imparable

Riches en amidon, peu coûteuses, rassasiantes et faciles à cuisiner dansplein de recettes différentes , les pommes de terre sont des indispensables dans la cuisine quotidienne. Pourtant, une fois épluchées, elles présentent un inconvénient bien connu : elles noircissent rapidement à l’air libre. Ce changement de couleur, peu engageant, peut ruiner l’aspect d’un plat avant même la cuisson. Face à ce problème, nombreuses sont les personnes qui cherchent des solutions efficaces pour conserver leurs pommes de terre pelées sans altérer ni leur goût ni leur apparence. Pourquoi cette réaction se produit-elle ? Quels gestes simples permettent de l’éviter ? Que faut-il absolument éviter pour ne pas empirer les choses ? Découvrez les meilleures techniques pour conserver vos pommes de terre épluchées sans qu’elles ne noircissent grâce aux astuces de grand-mère les plus efficaces et faciles à appliquer à la maison. Fini le gaspillage !

Pourquoi les pommes de terre noircissent-elles après épluchage ?

Dès qu’une pomme de terre est coupée ou épluchée, elle s’expose à l’oxygène de l’air. Cette exposition déclenche une réaction d’ oxydation enzymatique. En clair, certaines enzymes naturellement présentes dans le tubercule, notamment la polyphénoloxydase, réagissent avec l’oxygène pour produire des pigments foncés appelés mélanines. C’est ce qui provoque ce brunissement en surface, similaire à celui que l’on observe sur une pomme entamée ou un avocat ouvert.

Cette oxydation est totalement naturelle et ne rend pas les pommes de terre impropres à la consommation. Toutefois, elle affecte leur apparence et peut donner une impression de manque de fraîcheur. Dans certains cas, lorsqu’elles sont laissées trop longtemps à l’air libre, les pommes de terre noircissent également après cuisson, en particulier si elles sont ensuite réfrigérées ou congelées. Une réaction chimique différente, liée cette fois à l’ oxydation des sucres réducteurs , est alors en cause. Il devient donc crucial de connaître les bons gestes pour ralentir ou empêcher ces processus.

Le trempage dans l’eau : le réflexe indispensable avec les pommes de terre pelées

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La méthode la plus courante et la plus simple pour éviter le noircissement consiste à immerger immédiatement les pommes de terre épluchées dans de l’eau froide. Ce geste limite le contact entre l’air et la chair exposée. L’eau agit ici comme une barrière protectrice. Plus la découpe est fine, plus l’oxydation est rapide, ce qui rend cette précaution d’autant plus essentielle pour les frites ou les rondelles.

Il est recommandé de choisir un récipient opaque ou de couvrir celui-ci pour protéger les pommes de terre de la lumière, qui peut aussi accélérer certaines réactions. Il est également important de ne pas laisser les pommes de terre tremper trop longtemps, notamment plus de 24 heures , car elles peuvent alors perdre une partie de leur amidon et devenir farineuses. Un séjour de quelques heures dans l’eau suffit généralement pour une cuisson dans la journée.

Ajouter du vinaigre ou du citron : un plus efficace pour vos pommes de terre

Pour renforcer l’effet du trempage, il est possible d’ajouter quelques gouttes de jus de citron ou une cuillère à soupe de vinaigre blanc dans l’eau. Ces ingrédients acides modifient le pH et freinent l’activité des enzymes responsables du brunissement. Cette astuce est particulièrement utile lorsque les pommes de terre doivent rester épluchées plusieurs heures avant cuisson, comme lors de la préparation de plats en avance ou pour les repas de fête.

Cette acidification de l’eau ne change pas le goût des pommes de terre, surtout si elles sont ensuite bien rincées avant d’être cuisinées. Elle est aussi compatible avec toutes les formes de cuisson : à l’eau, à la vapeur, au four ou à la poêle.

Le froid pour ralentir les réactions chimiques

Placer les pommes de terre épluchées dans un récipient hermétique au réfrigérateur peut également aider à préserver leur couleur et leur fraîcheur. Le froid ralentit naturellement les réactions enzymatiques et limite la prolifération bactérienne. Il est toutefois impératif que les pommes de terre soient immergées dans l’eau, sans quoi l’effet inverse se produit : les zones exposées à l’air noircissent rapidement. La congélation peut également s’envisager en suivant toutefois quelques règles .

L’amidon, un allié à préserver

[caption id=“attachment_33372” align=“aligncenter” width=“859”] Crédits : Pixabay/Doctorculebra[/caption]

Une erreur fréquente consiste à changer l’eau de trempage trop souvent ou à trop bien rincer les pommes de terre avant la cuisson. Or, l’amidon qu’elles contiennent joue un rôle protecteur contre l’oxydation. En le diluant ou en l’éliminant complètement, on augmente paradoxalement le risque de brunissement à la cuisson, surtout pour les variétés riches en amidon comme la Bintje (la meilleure pour les frites !) ou l’Agria. Il est donc préférable de limiter les rinçages à un ou deux passages à l’eau claire juste avant la mise en cuisson.

Miser sur la rapidité et la bonne organisation

L’un des meilleurs moyens de garder des pommes de terre épluchées bien claires reste encore de les éplucher à la dernière minute. Si cela n’est pas possible, il vaut mieux planifier leur préparation en respectant les règles de conservation évoquées. En cuisine collective ou en grande tablée, préparer les pommes de terre quelques heures à l’avance, les conserver dans une eau froide légèrement citronnée et les cuire dans la journée permet d’éviter toute mauvaise surprise.

En maîtrisant ces gestes simples, il devient facile de conserver leur belle couleur claire et leur texture optimale.

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Marre des allers-retours chers à la station essence ? Fini de se ruiner : ces astuces vont faire durer votre plein de carburant plus longtemps !

Les prix affichés à la pompe n’ont de cesse de grimper et le passage aux stations essence est donc très redouté par les conducteurs. Bien sûr, une voiture consommera plus ou moins de carburant en fonction de sa taille et de son moteur. Cependant, on peut déjà prendre certainesbonnes habitudes pour économiser sur le plein d’essence . Il est en outre possible d’adapter sa conduite pour réduire sa consommation de carburant et ainsi limiter ses passages à la station-service, ce qui peut avoir un impact non négligeable sur ses dépenses à l’année. Que votre voiture ait un moteur essence, diesel ou hybride, découvrez donc toutes nos bonnes astuces pour faire durer votre plein d’essence plus longtemps et pouvoir ainsi faire plus de kilomètres avec votre véhicule.

Si vous ne pouvez pas vous déplacer à vélo ou faire du covoiturage, ces astuces vous aideront au moins à faire de substantielles économies !

1) Tout commence avec le choix du véhicule

C’est bien connu : les SUV comptent parmi les citadines qui consomment le plus. D’ailleurs, on estime qu’ils consomment 1 l de plus aux 100 km par rapport à une berline équivalente. Cela s’explique par leur poids élevé, leurs gros pneus ainsi que leur mauvais aérodynamisme. Ces faux 4x4 ne donc pas le modèle le plus approprié pour faire des économies de carburant. Par ailleurs, sachez que si vous roulez principalement en milieu urbain et prenez peu l’autoroute, on conseille généralement plutôt la voiture hybride par rapport à la voiture électrique ou au véhicule classique.

2) Optimisez vos déplacements au maximum pour faire durer votre plein d’essence

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Si vous avez plusieurs courses à faire sur une journée (teinturier, boulangerie, poste…), il est plus économique de réaliser tous ces déplacements en une seule fois pour réduire votre consommation d’essence. En effet, un moteur froid consommera 20 % de plus sur une départementale (ou tout autre parcours fluide) et 50 % de plus en ville.

Bon à savoir : Pour les trajets courts (3 km ou moins), mieux vaut être à vélo ou à pied.

3) Être bien préparés avant de prendre le volant

Cela peut paraître tout bête, mais avoir une bonne connaissance de son parcours permet d’éviter les trajets et détours inutiles qui consomment de l’énergie. N’hésitez donc pas à potasser l’itinéraire avant de partir et à vous munir si besoin d’un GPS. De plus, le fait de ralentir au dernier moment n’est jamais bon quand on cherche à économiser du carburant. Savoir anticiper les stops et feux de signalisation est donc très important. Cela permet de profiter de son élan sans avoir besoin d’appuyer sur la pédale, et donc de consommer plus.

4) Pour faire durer votre plein d’essence, prenez soin de vos pneus !

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Il est essentiel de toujours vérifier l’état des “trains roulants” de votre véhicule (soit ce qui constitue le châssis et fait la liaison avec le sol). Assurez-vous notamment que vos pneumatiques sont bien gonflés. En effet une pression trop basse augmente la surface en contact avec le sol, et donc aussi au passage résistance au roulement et la consommation d’essence. À titre d’illustration, des pneus sous-gonflés de 0,5 bar peuvent augmenter votre consommation de 2 à 4 % suivant votre vitesse et la charge de la voiture. Ce n’est donc pas négligeable d’autant qu’il y a un risque dangereux d’éclatement. Idéalement, faites une vérification de la pression tous les deux mois. Et pour limiter leur usure, vous pouvez les surgonfler de 0,2 bar par pneu.

5) Évitez d’utiliser la climatisation

Vous savez sans doute déjà que rouler avec les fenêtres ouvertes nuit à l’aérodynamisme de votre véhicule. Il risque donc de consommer plus. Malgré cela, c’est tout de même mieux que la clim’ qui induit une surconsommation encore plus élevée ! Même si vous ne la réglez pas trop fort, elle provoque en effet toujours des pertes d’énergie pour le moteur et brûle du carburant. De plus, elle a tendance à irriter les voies respiratoires, assécher le nez et brasser les germes dans l’air ambiant… Si toutefois vous décidez d’utiliser la climatisation, nous vous conseillons de ne pas la régler sur une température inférieure de 4 °C par rapport aux températures extérieures.

En complément : découvrez nosastuces pour rafraîchir efficacement sa voiture en été .

6) Modifiez votre conduite pour faire durer votre plein d’essence

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Vous vous demandez “pourquoi mon essence part vite ?”. Bien souvent, c’est une histoire de conduite ! Adopter une conduite économique implique notamment d’opter pour le bon régime pour son moteur (à savoir 2 500 tr/min environ pour un moteur essence et 1 500 tr/min pour un moteur diesel) sans pousser les rapports.

Pour optimiser votre conduite, essayez de garder une vitesse constante (par exemple grâce au régulateur de vitesse si vous en avez un) et de lever le pied sur accélérateur. Les accélérations brutales sont à bannir. En ville, il faudra aussi bien anticiper les feux, ronds points, cédez le passage et autres piétons, mais aussi éviter de coller au train des autres véhicules afin de pouvoir voir venir si l’autre automobiliste accélère ou décélère. En bref, adoptez une conduite fluide et constante.

7) Le freinage : le nerf de la guerre !

Ce n’est pas tant la conduite qui consomme, mais aussi, et surtout le freinage. Dès que possible, essayez donc de rétrograder plutôt que de freiner. Et comme évoqué tantôt, anticipez au maximum les ralentissements de manière à pouvoir relâcher l’accélérateur en conséquence. Autant que possible, utilisez votre frein moteur à la place du point mort de manière à consommer moins de carburant et préserver vos freins.

8) À quelle vitesse rouler pour consommer moins d’essence et faire durer son plein ?

[caption id=“attachment_71409” align=“aligncenter” width=“1253”] Crédits : iStock[/caption]

Pour la plupart des voitures, c’est à une vitesse entre 50 et 80 km/h que la consommation est la plus minime. Dès que l’on commence à accélérer, on produit une consommation exponentielle. À titre d’exemple, en roulant à 120 km/h, vous consommez environ 20% de plus d’énergie qu’en roulant à 100km/h. Accélérer pour gagner quelques minutes ne vaut donc définitivement pas le coup (ou coût !), car c’est très énergivore. Rappelez-vous de garder une conduite constante, sans gros écarts de vitesse et sans trop user la pédale de l’accélérateur pour consommer moins.

9) Pour faire durer votre plein d’essence, prenez soin du moteur

Le moteur est à la voiture ce que le cœur est à l’homme. Une fois usé et encrassé, il n’a plus un aussi bon rendement et nécessite plus de carburant pour fonctionner. Il est donc essentiel de s’occuper de l’entretien de sa voiture et de ne pas laisser les problèmes traîner dans la mesure du possible. Pour économiser de l’essence, il faut surtout nettoyer ou changer le filtre à air , remplacer les bougies régulièrement et faire la vidange du véhicule. Enfin, si le démarrage à froid est difficile, surveillez l’injection.

10) Délestez votre voiture de tout poids

[caption id=“attachment_22401” align=“aligncenter” width=“745”] Crédits : iStock[/caption]

Barres de toit, porte-skis, coffre de toit, porte-vélo… Tout ce qui rend le véhicule moins aérodynamique est à éviter pour préserver votre essence de toute surconsommation. Pensez aussi à vider votre coffre s’il est rempli d’objets ou outils lourds.

11) Une astuce pour faire durer votre plein d’essence plus longtemps

Si votre moteur tourne à plein régime dès le démarrage, cela va faire exploser votre consommation d’essence. Alors, comment faire ? Après avoir démarré votre voiture, attendez quelques mètres avant d’accélérer. Vous pourrez ensuite passer à la vitesse supérieure sans consommer trop de carburant.

12) Ne faites pas chauffer le moteur en hiver

Sur les anciens modèles de voiture, faire chauffer le moteur permettait de mettre l’huile à température et d’assurer sa fluidité totale. C’était donc une habitude essentielle pour préserver le moteur sur le long terme. Toutefois, les technologies ont évolué et les huiles avec elles. Elles sont aujourd’hui plus qualitatives et plus fluides. Inutile donc de laisser chauffer votre automobile moderne, et donc de gaspiller du carburant ! Vous pouvez simplement démarrer, embrayer et rouler lentement pendant les cinq premières minutes sans risquer d’agresser le moteur.

Maintenant que vous savez comment faire durer votre plein d’essence, passons aux questions subsidiaires !

Le choix de l’essence, c’est important ou pas ?

Sur cette question, les avis divergent. On entend parfois que l’essence haut de gamme (sans-plomb 98 et gazole premium) limite l’encrassement du moteur et permet une consommation optimisée même si c’est plus cher. Néanmoins, dans les faits, beaucoup de mécaniciens vous diront qu’entre 98 et 95, la différence est extrêmement minime, voire inexistante et tiendra uniquement au raffinage. Or, sans test en laboratoire, on ne peut pas connaître cette donnée. Le diesel premium reçoit quant à lui certes des additifs bénéfiques, mais rien de bien miraculeux. Bref, c’est surtout du marketing et ce que vous gagnez ne vaut au final pas le coup/coût.

Combien de kilomètres peut-on faire sur la réserve ?

Vous vous êtes déjà demandé quelle distance vous pouviez parcourir sur la réserve ? Pour le savoir, vous pouvez vous référer au manuel de votre voiture qui contient souvent cette information. Pour vous donner une idée, la réserve correspond généralement à 5 % du réservoir. On peut donc rouler approximativement rouler entre 70 et 80 km/h. Néanmoins, nous vous conseillons de ne pas parcourir plus de 50 kilomètres sur la réserve pour éviter une panne. Rappelez-vous en effet que la jauge à essence reste un indicateur approximatif dont la fiabilité peut laisser à désirer. Par ailleurs, rouler sur la réserve n’est pas bon pour le moteur.

Avec tous ces conseils glanés auprès d’un mécanicien, vous pourrez faire face à la flambée des prix observées à la station-service et rendre le passage à la pompe à essence moins douloureux pour votre petit budget. Rappelez-vous surtout qu’il n’y pas de petites économies et que

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