Algérie : Boualem Sansal à nouveau condamné, l’issue politique négociée reste possible

Algérie : Boualem Sansal à nouveau condamné, l’issue politique négociée reste possible

La cour d’appel d’Alger a confirmé ce mardi matin la peine de 5 ans de prison ferme pour l’écrivain. La partie n’est pas pour autant terminée : Paris attend et espère une libération dans le cadre d’une grâce présidentielle.

Lire la suite sur premium.lefigaro.fr

Algérie: la justice requiert en appel une peine de 10 ans de prison contre l’écrivain Boualem Sansal

La justice algérienne a requis en appel 10 ans de prison à l’encontre de Boualem Sansal. L’écrivain, âgé de 80 ans, est incarcéré depuis le 16 novembre 2024. Le verdict est attendu mardi prochain 1er juillet.

Lire la suite sur premium.lefigaro.fr

«La dictature algérienne a voulu le faire taire en dix minutes»: les coulisses du procès de Boualem Sansal

La justice algérienne a requis en appel mardi une peine de dix ans de prison contre l’écrivain. Invité du Figaro TV, le président du Comité de soutien à Boualem Sansal dénonce un «procès éclair» contre un homme âgé et physiquement très affaibli.

Lire la suite sur premium.lefigaro.fr

Boualem Sansal, prisonnier des geôles algériennes depuis huit mois et tributaire des tensions entre Paris et Alger

RÉCIT - L’écrivain franco-algérien, incarcéré pour «atteinte à l’intégrité nationale», sera fixé sur son sort en appel ce mardi 1er juillet. L’issue de ce procès politique est directement liée aux relations entre Paris et Alger, désastreuses depuis des mois.

Lire la suite sur premium.lefigaro.fr

«Inhumaine», «intolérable» : vives réactions en France après la condamnation de Boualem Sansal

Après que la cour d’appel d’Alger a confirmé ce mardi la peine de 5 ans de prison ferme pour l’écrivain, le premier ministre François Bayrou a dit espérer «des mesures de grâce» du président algérien Abdelmadjid Tebboune.

Lire la suite sur premium.lefigaro.fr

La relation entre la France et l’Algérie suspendue au procès de Boualem Sansal

DÉCRYPTAGE - Le sort de l’écrivain, dont le procès en appel doit avoir lieu ce 24 juin à Alger, conditionnera celui de la relation bilatérale. Une libération mettrait un terme à une situation de quasi-rupture diplomatique.

Lire la suite sur premium.lefigaro.fr