Sous-marins. Quand Le Drian dénonce une « brutalité à la Trump »
La décision australienne a tellement pris Paris à contre-pied qu’elle a suscité un émoi bien peu diplomatique du Quai d’Orsay.
Amis ennemis – L’édito de Christophe Bonnefoy
L’amitié, ça n’existe pas. En tout cas lorsque sont posés sur la table des milliards de dollars (américains ou australiens) ou d’euros. En l’occurrence, celle qui aurait dû évoluer vers un mariage d’amour entre notre beau pays et la non moins magnifique île d’Océanie…
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Éditorial. Le paradigme du sous-marin nucléaire
Le choix australien de rompre le contrat à 53 milliards d’euros de commande de sous-marins est justifié par Canberra par des «besoins nouveaux». En effet, les submersibles commandés à la France étaient à propulsion conventionnelle, ceux made in USA seront nucléaires. Il ne s’agit pas que d’une modification technologique ou d’un changement de fournisseur. Autonomie, rayon d’action, furtivité, ravitaillement, jusqu’à la fourniture du combustible, c’est l’ensemble du paradigme d’utilisation des sous-marins australiens qui est différent avec le passage au nucléaire.
Défense. Sous-marins australiens : Biden en eaux troubles
En livrant leur technologie de propulsion nucléaire à l’Australie, les États-Unis renforcent encore un peu plus leur présence et la pression en mer de Chine, que Pékin considère comme sa chasse gardée.